vendredi 30 novembre 2007

Georges Pérec a dit :

Trace l’inégal palindrome. Neige. Bagatelle, dira Hercule. Le brut repentir, cet écrit né Perec. L’arc lui pèse trop, lis à vice-versa. Perte. Cerise d’une vérité banale, le Malstrom, Alep, mort édulcoré, crêpe porté de ce désir brisé d’un iota…
… A toi, nu désir brisé, décédé, trope percé, roc lu. Détrompe-la. Morts : L’Ame, l‘Elan abêti, revenu. Désire ce trépas rêvé : Ci va ! S’il porte, sépulcral, ce repentir, cet écrit ne perturbe le lucre : haridelle, ta gabegie ne mord ni la plage ni l’écart.

4 commentaires:

Gourgandise a dit…

Il me faudra très certainement une trentième lecture pour tout comprendre.

Suspicious Character a dit…

Il n'y a rien à comprendre à vrai dire, seulement à admirer le plus grand palindrome qui soit...

Diesskay a dit…

Ne pas confondre avec un anacyclique:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Palindrome

Suspicious Character a dit…

L'anacyclique n'a pas le même sens, il me semble.