samedi 3 mai 2008

Noam Chomsky vs. Ali G

Assez drôle :)

Dean & Britta - You Turn My Head Around

Ceci est une nouvelle vidéo de Dean & Britta. On apprécie beaucoup la voix de Britta, la scène à NYC, et bien sûr, la belle Britta Philips en mini robe rouge!

vendredi 2 mai 2008

Gary's Gang - Do It At the Disco (1979) / Mr. Oizo - Patrick122 (Transexual EP, 2007)

Mr. Oizo, on le sait, ce n'est pas que Flat Beat. Et puis, ça commence à dater le morceau de la marionnette jaune.
Patrick122 est un titre disco à la sauce Ed Banger, remix du "Do It At The Disco" de Gary's Gang. Ca vous remet les idées en place.
Le clip est une petit bijou d'animation qui mérite votre attention.




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jeudi 1 mai 2008

Une Ordure (Filth, Welsh, 1998)

Une homme se fait défoncer le crâne à coups de marteau un soir dans une ruelle d'Edimbourg. Bruce Robertson est chargé de l'enquête, ce qui l'ennuie profondément vu l'aversion qu'il éprouve à l'égard de la nature ethnique de la victime. Remplissant ses fiches d'heures supplémentaires qu'il n'a pas faites tout en matant le cul de ses charmantes collègues, Robertson pratique la non-enquête, remettant toute faute sur ses partenaires. Terrassé par un eczéma prononcé et un ténia philosophe et psychologue mais surtout coriace, il ne fait qu'attendre sa semaine de vacances à Amsterdam, son pèlerinage sexuel annuel qui ne souhaite pour rien au monde manquer. En attendant, il profite de sa situation professionnelle et s'octroit de passes-droits sexuels en échange de son silence ou d'abandons de charges.

Cocaïnomane, alcoolique, raciste, homophobe, mysogyne, adultère collectionneur, fervent pratiquant de l'onanisme, mythomane, délateur, opportuniste, arriviste, vulgaire, supporter de foot et nihiliste (ces deux derniers auraient permis de simplifier l'énumération). Mélangez tous ces termes et vous avez les caractéristiques de Bruce Robertson. Une vraie ordure, quoi!
Irvine Welsh est réputé pour être l'auteur de Trainspotting et Ecstasy, livres dépeignants des personnages semblables appartenant à une culture underground, aux personnalités atypiques et très douteuses. C'est un style cru et très direct. Mais derrière ce style se cache une réponse à une question que l'on ne se posait même pas. Pourquoi un homme comme Robertson est-il ainsi, lui qui était si bien avant?

Renaissance (Volckman, 2006)

Une jeune scientifique sur le point d'une découverte majeure se fait enlever. La firme Avalon, qui emploie la jeune femme, met sur l'enquête Karas, un inspecteur aux méthodes radicales et efficaces. Se joint à Karas la soeur de la victime. Mais ils ne seront pas seuls à mener leur enquête... Ils se rendront compte que pour retrouver la scientifique, il leur faudra d'abord trouver quel secret cache sa découverte et en quoi consiste le protocole dont elle-même fut la victime. Le protocole Renaissance.

Sous cette histoire plus que banale et relativement ennuyante se cache un concept visuel très osé pour une production, surtout quand celle-ci est française.
Il aura fallu 7 années de développements technologique et logistique, recherches de fonds, production, animation et enfin réalisation.
Le concept tient en un film d'animation en noir et blanc sans nuances de gris : juste du noir et blanc, mis en valeur par des contrastes très prononcés. Pour simplifier un procédé plus compliqué qu'il n'en paraît, le rendu est semblable aux comics Sin City de Frank Miller (pas le film qui ne tient que sur un étalonnage numérique). D'autre part la production a dû créer de petites caméras pour numériser les mouvements et les réactions des yeux des acteurs de la motion capture.
Le film vaut le coup d'oeil pour voir que le cinéma français peut lui aussi faire des films d'animation et que ce domaine n'est pas réservé aux américains ni aux japonais, bien qu'il faille tout de même sept ans pour en pondre un et encore, l'histoire nous faisant nous en éloigner.

mercredi 30 avril 2008

Les lecteurs audio sur le net

Last FM, Deezer, imeem ou spiralfrog?

Moi je vote pour imeem, qui est plutôt plus simple que les autres, et aussi parce qu'il offre plus de choix.

Comparaison ici

lundi 28 avril 2008

Rick James - Superfreak (1981)

Puisqu'on est dans les années 80, restons-y. Car bien qu'il y ait eu pas mal de daubes ces années-là, on peut quand même reconnaitre que de grands tubes y sont nés.

Je voulais rendre à César ce qui appartient à César.
Beaucoup se souviennent du tube planétaire U Can't Touch This de MC Hammer, mais peu savent que le principal sample (qui rend la musique intéressante, car sinon il l'a rendue franchement ennuyeuse et agaçante) vient en fait du titre Superfreak de Rick James.

Voici le clip, une pure merveille (ahah!) pour les yeux, et pas mal de rythme pour vous faire bouger sur le dancefloor.