Ok, ok. J'adore CSS et quand le groupe décide de sortir un nouveau titre, je suis comme un gosse qui vient d'avoir le jouet qu'il désirait depuis longtemps. On reste dans le rock punchy et festif, qui fait bouger des cheveux et onduler du corps. Très bien, c'est ce qu'on leur demande.
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vendredi 9 mai 2008
UNKLE - Chemistry (War Stories, 2007)
Je connaissais ce duo Britannique grâce à Thom Yorke de Radiohead, mais là récemment j'ai découvert leur album WAR STORIES, et je suis littéralement tombée en amour devant leur musique!
TOUS les morceaux sont absolument géniaux, c'est sûr, ils figureront dans mes incontournables cette année.
Pour ceux qui aiment l'électro et le rock, vous êtes servis!
TOUS les morceaux sont absolument géniaux, c'est sûr, ils figureront dans mes incontournables cette année.
Pour ceux qui aiment l'électro et le rock, vous êtes servis!
mardi 6 mai 2008
My Bloody Valentine - To Here Knows When (Loveless, 1991)
Loveless, un des piliers du shoegaze, est un album tellement immense qu'en parler prendrait des heures. Toutes les musiques sont des chefs-d'oeuvre de composition et de production. Dans un article dans lequel je parlais de leur retour scénique, j'ai rapidement fait allusion à cet album et laissé deux clips de Loveless : Soon et Only Shallow.
To Here Know When est la musique où il fait beau, du genre qui fait respirer un bol d'air frais matinal sans bouger de chez soi. Elle est impressionnante pour sa bipolarité : elle peut vous rendre le chemin au travail ou à l'école très agréable, mais aussi vous plonger dans une profonde torpeur en fonction de l'humeur...
To Here Knows When
To Here Know When est la musique où il fait beau, du genre qui fait respirer un bol d'air frais matinal sans bouger de chez soi. Elle est impressionnante pour sa bipolarité : elle peut vous rendre le chemin au travail ou à l'école très agréable, mais aussi vous plonger dans une profonde torpeur en fonction de l'humeur...
To Here Knows When
Bien-dire :
Les grâces musicales
Pour les nostalgiques de Disney
Pour les fans de Disney, je ne saurais que trop vous recommander ce site qui donne un aperçu des models et croquis de base qui ont servi pour chacun des films.
Un petit extrait de mon préféré, "la Belle au bois dormant", qui à l'époque de sa sortie n'avait pas si bien marché en grande partie à cause de la modernité du design graphique. Moi c'est surtout pour cela que j'aime ce film, et peut-être aussi parce que je suis une fille, mais ça...
Un petit extrait de mon préféré, "la Belle au bois dormant", qui à l'époque de sa sortie n'avait pas si bien marché en grande partie à cause de la modernité du design graphique. Moi c'est surtout pour cela que j'aime ce film, et peut-être aussi parce que je suis une fille, mais ça...

Bien-dire :
Le Web est une grande famille
lundi 5 mai 2008
Sunny Day Sets Fire - Brainless (EP, 2006)
Parfois, il faut pas grand chose pour rendre les gens heureux. Un petit air nostalgique, un souvenir d'enfance qui remonte à la surface et c'est suffisant. Brainless, c'est un peu ça. Et un peu plus aussi.
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MySpace
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MySpace
samedi 3 mai 2008
Dean & Britta - You Turn My Head Around
Ceci est une nouvelle vidéo de Dean & Britta. On apprécie beaucoup la voix de Britta, la scène à NYC, et bien sûr, la belle Britta Philips en mini robe rouge!
Bien-dire :
Exquises vidéos,
Les grâces musicales
vendredi 2 mai 2008
Gary's Gang - Do It At the Disco (1979) / Mr. Oizo - Patrick122 (Transexual EP, 2007)
Mr. Oizo, on le sait, ce n'est pas que Flat Beat. Et puis, ça commence à dater le morceau de la marionnette jaune.
Patrick122 est un titre disco à la sauce Ed Banger, remix du "Do It At The Disco" de Gary's Gang. Ca vous remet les idées en place.
Le clip est une petit bijou d'animation qui mérite votre attention.
MySpace
Patrick122 est un titre disco à la sauce Ed Banger, remix du "Do It At The Disco" de Gary's Gang. Ca vous remet les idées en place.
Le clip est une petit bijou d'animation qui mérite votre attention.
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jeudi 1 mai 2008
Une Ordure (Filth, Welsh, 1998)
Une homme se fait défoncer le crâne à coups de marteau un soir dans une ruelle d'Edimbourg. Bruce Robertson est chargé de l'enquête, ce qui l'ennuie profondément vu l'aversion qu'il éprouve à l'égard de la nature ethnique de la victime. Remplissant ses fiches d'heures supplémentaires qu'il n'a pas faites tout en matant le cul de ses charmantes collègues, Robertson pratique la non-enquête, remettant toute faute sur ses partenaires. Terrassé par un eczéma prononcé et un ténia philosophe et psychologue mais surtout coriace, il ne fait qu'attendre sa semaine de vacances à Amsterdam, son pèlerinage sexuel annuel qui ne souhaite pour rien au monde manquer. En attendant, il profite de sa situation professionnelle et s'octroit de passes-droits sexuels en échange de son silence ou d'abandons de charges.

Cocaïnomane, alcoolique, raciste, homophobe, mysogyne, adultère collectionneur, fervent pratiquant de l'onanisme, mythomane, délateur, opportuniste, arriviste, vulgaire, supporter de foot et nihiliste (ces deux derniers auraient permis de simplifier l'énumération). Mélangez tous ces termes et vous avez les caractéristiques de Bruce Robertson. Une vraie ordure, quoi!
Irvine Welsh est réputé pour être l'auteur de Trainspotting et Ecstasy, livres dépeignants des personnages semblables appartenant à une culture underground, aux personnalités atypiques et très douteuses. C'est un style cru et très direct. Mais derrière ce style se cache une réponse à une question que l'on ne se posait même pas. Pourquoi un homme comme Robertson est-il ainsi, lui qui était si bien avant?

Cocaïnomane, alcoolique, raciste, homophobe, mysogyne, adultère collectionneur, fervent pratiquant de l'onanisme, mythomane, délateur, opportuniste, arriviste, vulgaire, supporter de foot et nihiliste (ces deux derniers auraient permis de simplifier l'énumération). Mélangez tous ces termes et vous avez les caractéristiques de Bruce Robertson. Une vraie ordure, quoi!
Irvine Welsh est réputé pour être l'auteur de Trainspotting et Ecstasy, livres dépeignants des personnages semblables appartenant à une culture underground, aux personnalités atypiques et très douteuses. C'est un style cru et très direct. Mais derrière ce style se cache une réponse à une question que l'on ne se posait même pas. Pourquoi un homme comme Robertson est-il ainsi, lui qui était si bien avant?
Renaissance (Volckman, 2006)
Une jeune scientifique sur le point d'une découverte majeure se fait enlever. La firme Avalon, qui emploie la jeune femme, met sur l'enquête Karas, un inspecteur aux méthodes radicales et efficaces. Se joint à Karas la soeur de la victime. Mais ils ne seront pas seuls à mener leur enquête... Ils se rendront compte que pour retrouver la scientifique, il leur faudra d'abord trouver quel secret cache sa découverte et en quoi consiste le protocole dont elle-même fut la victime. Le protocole Renaissance.

Sous cette histoire plus que banale et relativement ennuyante se cache un concept visuel très osé pour une production, surtout quand celle-ci est française.
Il aura fallu 7 années de développements technologique et logistique, recherches de fonds, production, animation et enfin réalisation.
Le concept tient en un film d'animation en noir et blanc sans nuances de gris : juste du noir et blanc, mis en valeur par des contrastes très prononcés. Pour simplifier un procédé plus compliqué qu'il n'en paraît, le rendu est semblable aux comics Sin City de Frank Miller (pas le film qui ne tient que sur un étalonnage numérique). D'autre part la production a dû créer de petites caméras pour numériser les mouvements et les réactions des yeux des acteurs de la motion capture.
Le film vaut le coup d'oeil pour voir que le cinéma français peut lui aussi faire des films d'animation et que ce domaine n'est pas réservé aux américains ni aux japonais, bien qu'il faille tout de même sept ans pour en pondre un et encore, l'histoire nous faisant nous en éloigner.

Sous cette histoire plus que banale et relativement ennuyante se cache un concept visuel très osé pour une production, surtout quand celle-ci est française.
Il aura fallu 7 années de développements technologique et logistique, recherches de fonds, production, animation et enfin réalisation.
Le concept tient en un film d'animation en noir et blanc sans nuances de gris : juste du noir et blanc, mis en valeur par des contrastes très prononcés. Pour simplifier un procédé plus compliqué qu'il n'en paraît, le rendu est semblable aux comics Sin City de Frank Miller (pas le film qui ne tient que sur un étalonnage numérique). D'autre part la production a dû créer de petites caméras pour numériser les mouvements et les réactions des yeux des acteurs de la motion capture.
Le film vaut le coup d'oeil pour voir que le cinéma français peut lui aussi faire des films d'animation et que ce domaine n'est pas réservé aux américains ni aux japonais, bien qu'il faille tout de même sept ans pour en pondre un et encore, l'histoire nous faisant nous en éloigner.
mercredi 30 avril 2008
Les lecteurs audio sur le net
Last FM, Deezer, imeem ou spiralfrog?
Moi je vote pour imeem, qui est plutôt plus simple que les autres, et aussi parce qu'il offre plus de choix.
Comparaison ici
Moi je vote pour imeem, qui est plutôt plus simple que les autres, et aussi parce qu'il offre plus de choix.
Comparaison ici
Bien-dire :
Le Web est une grande famille
lundi 28 avril 2008
Rick James - Superfreak (1981)
Puisqu'on est dans les années 80, restons-y. Car bien qu'il y ait eu pas mal de daubes ces années-là, on peut quand même reconnaitre que de grands tubes y sont nés.
Je voulais rendre à César ce qui appartient à César.
Beaucoup se souviennent du tube planétaire U Can't Touch This de MC Hammer, mais peu savent que le principal sample (qui rend la musique intéressante, car sinon il l'a rendue franchement ennuyeuse et agaçante) vient en fait du titre Superfreak de Rick James.
Voici le clip, une pure merveille (ahah!) pour les yeux, et pas mal de rythme pour vous faire bouger sur le dancefloor.
Je voulais rendre à César ce qui appartient à César.
Beaucoup se souviennent du tube planétaire U Can't Touch This de MC Hammer, mais peu savent que le principal sample (qui rend la musique intéressante, car sinon il l'a rendue franchement ennuyeuse et agaçante) vient en fait du titre Superfreak de Rick James.
Voici le clip, une pure merveille (ahah!) pour les yeux, et pas mal de rythme pour vous faire bouger sur le dancefloor.
samedi 26 avril 2008
Johnny Clegg - Scatterlings of Africa (1982) & Asimbonanga (1987)
Johnny Clegg, c'est le mec qui m'a fait découvrir, petit, la World Music. Je ne suis pas spécialement friand de ce genre de musique, mais force est de reconnaître que malgré toutes les merdes qu'on leur fait subir, ils arrivent à faire une musique qui respire la vie, l'enthousiasme constant de chaque moment est dans les tous petits riens, où chacun se construit à travers les voyages.
Et puis, c'est tout de même un monstre de la musique, adulé en France à l'époque. De plus, pour l'avoir vu en concert, je tiens à préciser qu'il donne la pêche et fout quelques frissons.
Et puis, c'est tout de même un monstre de la musique, adulé en France à l'époque. De plus, pour l'avoir vu en concert, je tiens à préciser qu'il donne la pêche et fout quelques frissons.
Bien-dire :
La discothèque de la fierté honteuse
mercredi 23 avril 2008
Radiohead - Ceremony (2007)
Ce n'est pas courant de voir des reprises qui font honneur aux morceaux originaux sans être de vulgaires interprétations aux empreintes trop prononcées. En tête me passent seulement la version de Another Brick In The Wall de KoRn ou Jesus Doesn't Want Me For A Sunbeam de Nirvana. Cette version du morceau mythique de Joy Divsion (et plus tard New Order) montre qu'avant d'être une reprise, ce morceau fait partie de ceux qu'ils ont aimé, sur lequel ils ont dû s'entraîner dans leur chambre et qui leur a sûrement donné envie de faire de la musique.
Bien-dire :
Sometimes a parrot talks
Flowers Forever - Black Rosary (Flowers Forever, 2008)
Tout d'abord, un bon anniversaire au Bon Goût!
Grâce au Temple, vous commencez à approcher de la Révélation et de la décence. Cela fait un an que nous faisons du prosélytisme afin de vous convertir au Bon Goût. Nous remercions d'avance les âmes pieuses qui nous lisent et attendons avec impatience vos commentaires.
Avec un son qui rappelle un peu les Clash et d'autres groupes rocks qui se faisaient plaisir, les Flowers Forever ont l'esprit noir avec ce rosaire.
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Flowers Forever - Black Rosary
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Grâce au Temple, vous commencez à approcher de la Révélation et de la décence. Cela fait un an que nous faisons du prosélytisme afin de vous convertir au Bon Goût. Nous remercions d'avance les âmes pieuses qui nous lisent et attendons avec impatience vos commentaires.
Avec un son qui rappelle un peu les Clash et d'autres groupes rocks qui se faisaient plaisir, les Flowers Forever ont l'esprit noir avec ce rosaire.
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Flowers Forever - Black Rosary
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