Aaaah ce grand tube avec un clip magnifiquement interprèté par un Chevy Chase divin qui ferait palir un monologue de Jack Nicholson. Et ces pans de murs qui donnent tant l'impression d'une chute imminente que l'on se voit tendre la main par réflexe... Mais l'air blasé de Paul Simon me fait assez sourire.
vendredi 12 octobre 2007
mercredi 10 octobre 2007
mardi 9 octobre 2007
Spiritualized - Ladies And Gentlemen We're Floating In Space (Ladies And Gentlemen We're Floating In Space, 1997)

Elu album de l'année par la bible NME, Ladies And Gentlemen We're Floating In Space est rempli de mélodies hypnotiques et planantes.
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Spiritualized - Ladies And Gentlemem We're Floating In Space
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dimanche 7 octobre 2007
Wintergreen - When I Wake Up (Extended Play, 2006)
Pop-rock savoureuse avec un clip vidéoludique qui retrace une des histoires les plus connues du jeu vidéo. Extra-terrestre!
samedi 6 octobre 2007
jeudi 4 octobre 2007
Ok Go - Here It Goes Again (Oh No, 2006)
Voilà une chorégraphie excellente et qui supplante largement celles des pop stars devant leurs belles voitures rutilantes entourées de belles femmes (ou hommes) avec pour seul attrait visuel leur quasi nudité.
J'adore, la musique est très bien et le mec à la chemise rose me régale à chaque fois.
J'adore, la musique est très bien et le mec à la chemise rose me régale à chaque fois.
Bien-dire :
Les Clips "Kitscha Ooooh"
Le Tone - Joli dragon (Le petit nabab, 1999)

Ah, ce joli dragon qui aime se cacher... Le Tone (ce nom m'a toujours donné l'impression d'avoir une patate dans la bouche), artiste français sans prétention, a lâché son titre plein de joie et de bonne humeur dans une période où nos ancêtres avaient peur d'un bug informatique qui les auraient empêché de passer l'année d'après... Heureusement, ils avaient un bon service après-vente.
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Le Tone - Joli dragon
Bien-dire :
La discothèque de la fierté honteuse
Who Framed Roger Rabbit - Robert Zemeckis (1988)
La plus belle intégration 2D/live qui existe. Sans compter l'un des passages les plus marquants: Jessica Rabbit au Ink&Paint Club. La musique est en plus de qualité (Why Don't You Do Right?, standart du jazz interprété par Amy Irving). Plaisir des yeux et des oreilles!
mardi 2 octobre 2007
Radiohead - In Rainbows (2007)

C'est la grosse nouvelle du moment: le nouveau Radiohead et dispo en téléchargement et c'est à vous, chers fans, d'en décider le prix... comme un acte de confiance auprès de leurs fans
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lundi 1 octobre 2007
Nike Vintage
D'habitude, je trouve cela de très mauvais goût de faire la part belle aux publicitaires. Mais lorsqu'il s'agit de remettre au goût du jour la moustache - pour un retour que j'ai prévu pour 2008-09 - le Temple se doit de faire passer le relai.
Nike Vintage
Nike Vintage
Halloween (Rob Zombie, 2007)

Matraquage commercial oblige, on est régulièrement étonné de voir sur notre grille de programme cinéma un Halloween. "En même temps on est en octobre" se dit-on.
Je me suis arrêté de compter à 7 films mais je pense qu'on doit avoisiner le 10 voire plus, vu que cette licence est un succès en location.
Bref, le tueur le plus rapide du monde qui va plus vite en marchant que la proie en mobylette revient en tout neuf. Au début, on s'attend à une préquelle, mais non. On a un remake du très bon Halloween de Carpenter, expliquant en 30mn pourquoi Michael Myers est complètement taré : problèmes familiaux, lynchages dans les toilettes du collège. Le problème, c'est que le côté intéressant de l'original est que le tueur est fou sans raison : sa famille est honorable, il est bien traité...
En revanche, l'avantage du remake est qu'il essaie tant bien que mal d'éviter les incohérances (ex. dans la version de 78, Myers sait conduire sans problème).
Pour le film lui-même, la réalisation n'entre pas dans les critères du film de série Z. Il est trop accompagné de musiques et pas assez de "tadaaaa" quand un gars prend un verre.
Ensuite, c'est affaire de style : un Myers très inspiré costumes de Slipknot, cheveux longs et gras, trop humanisé; une Laurie Strode lubrique...
Donc un mauvais film, qui ne vaut pas la location le samedi soir pour faire peur aux filles, soporifique de surcroit, qui plagie littéralement les scènes clés, et qui n'atteind même pas la qualité du générique de l'original.
Note. 2/10
samedi 29 septembre 2007
Bloc Party - Silent Alarm (2004)

"Silent Alarm" est le premier album de ce groupe anglais mené par Kele Obereke. Il vous emmène de riffs déchaînés à des morceaux plus classiques, en passant par des balades magnifiques accompagnées d'une voix particulière, pour repartir sur des sons entraînants. Et surtout, l'écoute de cet album passe à une vitesse incroyable, et on se voit enchaîner les écoutes à la suite.
La batterie est géniale, la guitare solo encore plus, la basse imposante et la voix sublime le tout.
Tout est bon dans "Silent Alarm".
Note. 10/10
jeudi 27 septembre 2007
300 (Snyder, 2007)

Adaptation d'un Graphic Novel de Frank Miller (Ronin, Dark Knight, Sin City) pour beaucoup, peplum avec des belâtres en slip de cuir au corps huilés pour d'autres.
L'histoire est toute simple : l'Empire Perse s'étend sur toute l'Europe Antique, et l'avidité de son empereur lui fait désirer la petite cité-état qu'est Spartes. Sauf que ce crétin ne se doute pas qu'un spartiate n'est pas seulement un homme mais naît pour le combat et défend de grandes valeurs. Armé de celles-ci, d'une lance, d'une épée et de 299 hommes en slip, son roi s'en va en campagne à l'oppression. La bataille des Thermophyles (Hot Gates). Clairement "Je veux. - Non, tu n'auras pas!"
C'est brutal, raconter cette histoire d'une civilisation belliqueuse ne vivant que pour le combat en guerre contre un tyran dont le sacrifice humain est sa seule façon de parvenir à ses fins, cela ne peut être que très violent. Mais Frank Miller faisant partie des précurseurs du Graphic Novel, la violence n'est pas inutile. C'est une violence stylisée.
Mon avis : je ne pense pas que Snyder ait fait quoi que ce soit de bien à part vouloir adapter le comic. Les livres de Miller sont comme des story-boards, ce qui enlève beaucoup au crédit du réal, et l'esthétisme doit plus au montage, au son et à la photo.
C'est comme regarder une fresque.
Note. 9/10
Pour un éventuel achat du DVD, contentez-vous de la version simple, le Collector n'apportant rien d'intéressant à part un interview de 5mn de Frank Miller.
99 F - Jan Kounen (2007)
"This film is shit."
Jan Kounen est un homme sans talent. Il l'a prouvé auparavant dans ses réalisations et 99 F n'est que la somme de tous ses horreurs. Il a le don pour s'entourer de ce qui a de pire dans le cinéma français: il n'y a qu'à voir le montage réalisé par un étudiant en première année de BTS action commerciale. Le scénario insipide renvoit au matériau de base qui était malgré tout quand même un peu plus riche.
Mais le pire, c'est qu'il y a tout de même de bonnes idées... piquées d'autres films. La preuve, c'est que le réal lui-même en prend conscience et l'écrit (l'habillage façon catalogue où il est stipulé que Fincher l'avait déjà fait dans Fight Club). Là où on attend des sommités de connerie, c'est quand le réal, qui es pense génial car des sombres crétins liu offrent l'opportunité de commettre ses bouses, s'auto-cite et s'offre un rôle. De plus, comme pour justifier le fait qu'il est nul pour ceux qui s'en doutait, il se permet de faire du remplissage afin de permettre au métrage de faire un durée raisonnable: la scène du Kinder qui n'en finit pas, la fin dans la forêt, le trip à Miami, les redondances... Tiens, parlons-en. Prenant conscience qu'il s'adresse probablement à un public de retardés élevés à la pub, Kounen se croit malin en répétant toujours au minimum deux fois, une scène. Ou en illustrant la voix-off: "Marc s'est suicidé d'une balle dans la tête", alors parce qu'on a pas compris, il nous montre Marc se suicidé d'une balle dans la tête. "Marc et Sophie se sont tués.", idem. Ou nous expliquez que Duhler est un connard en nous montrant un connard et en disant: "Dulher est un connard." Et ça partout.
Tenté de faire une critique sur le monde publicitaire en utilisant un discours de cette pauvreté renvoie à la nullité même du discours et appuie une argumentation que Kounen a lui-même élaboré dans le film: le réalisateur est un âne qui ne comprend rien (cf. l'Italien).
Aimant se tirer une balle dans le pied constamment, il accumule les scènes qui ou désservent le propos ou annhilent les précédentes; il bousille lui-même le peu d'intérêt que son film avait en "relançant" le film par une idée qui n'en est pas une. Comment explique-t-il toute l'intro avec sa nouvelle fin? Voire tout ce qui précédait???
L'île aux fleurs faisait passer de manière plus intelligente et stylée un message similaire en seulement 13 minutes.
N'est pas Fincher, qui veut. Et si Kounen, à force de pompages, veut montrer qu'il est amoureux du cinéma, qu'il nous le prouve en arrêtant de faire des films.
0/10
Jan Kounen est un homme sans talent. Il l'a prouvé auparavant dans ses réalisations et 99 F n'est que la somme de tous ses horreurs. Il a le don pour s'entourer de ce qui a de pire dans le cinéma français: il n'y a qu'à voir le montage réalisé par un étudiant en première année de BTS action commerciale. Le scénario insipide renvoit au matériau de base qui était malgré tout quand même un peu plus riche.
Mais le pire, c'est qu'il y a tout de même de bonnes idées... piquées d'autres films. La preuve, c'est que le réal lui-même en prend conscience et l'écrit (l'habillage façon catalogue où il est stipulé que Fincher l'avait déjà fait dans Fight Club). Là où on attend des sommités de connerie, c'est quand le réal, qui es pense génial car des sombres crétins liu offrent l'opportunité de commettre ses bouses, s'auto-cite et s'offre un rôle. De plus, comme pour justifier le fait qu'il est nul pour ceux qui s'en doutait, il se permet de faire du remplissage afin de permettre au métrage de faire un durée raisonnable: la scène du Kinder qui n'en finit pas, la fin dans la forêt, le trip à Miami, les redondances... Tiens, parlons-en. Prenant conscience qu'il s'adresse probablement à un public de retardés élevés à la pub, Kounen se croit malin en répétant toujours au minimum deux fois, une scène. Ou en illustrant la voix-off: "Marc s'est suicidé d'une balle dans la tête", alors parce qu'on a pas compris, il nous montre Marc se suicidé d'une balle dans la tête. "Marc et Sophie se sont tués.", idem. Ou nous expliquez que Duhler est un connard en nous montrant un connard et en disant: "Dulher est un connard." Et ça partout.
Tenté de faire une critique sur le monde publicitaire en utilisant un discours de cette pauvreté renvoie à la nullité même du discours et appuie une argumentation que Kounen a lui-même élaboré dans le film: le réalisateur est un âne qui ne comprend rien (cf. l'Italien).
Aimant se tirer une balle dans le pied constamment, il accumule les scènes qui ou désservent le propos ou annhilent les précédentes; il bousille lui-même le peu d'intérêt que son film avait en "relançant" le film par une idée qui n'en est pas une. Comment explique-t-il toute l'intro avec sa nouvelle fin? Voire tout ce qui précédait???
L'île aux fleurs faisait passer de manière plus intelligente et stylée un message similaire en seulement 13 minutes.
N'est pas Fincher, qui veut. Et si Kounen, à force de pompages, veut montrer qu'il est amoureux du cinéma, qu'il nous le prouve en arrêtant de faire des films.
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